SENSO est un organisme de formation engagé, spécialisé en RSE.
Pendant longtemps, tout allait bien.
Le bouche-à-oreille suffisait.
Les contenus étaient reconnus, les clients fidèles, les retours positifs.
Mais ces derniers mois, quelque chose a changé.
Rien de brutal. Plutôt un glissement progressif, une sensation floue mais partagée.
Un flottement.
Les demandes entrantes diminuent.
Les formats paraissent moins adaptés.
Le positionnement devient flou.
Et surtout… une impression de ne plus vraiment savoir où l’on va.
Chez SENSO, la conviction reste forte : l’équipe est compétente, les contenus sont solides, la mission est claire.
Mais pour franchir un cap, cela ne suffit plus.
Il manque quelque chose.
👉 Il manque une vision.
👉 Il manque une structure.
👉 Il manque une feuille de route
Et penser la pédagogie comme une expérience et l’acquisition comme un système.
SENSO est un organisme fictif.
Mais ce qu’il vit est très réel.
Et si on entrait dans les coulisses d’une équipe en quête de transformation ?
Une équipe qui veut avancer. Mais ensemble.
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Camille est la fondatrice et directrice générale de SENSO.
C’est elle qui a porté la vision dès le départ, rassemblé une équipe engagée, construit une offre de formation solide, centrée sur l’impact social et environnemental.
Elle croit profondément à la mission de SENSO.
Et elle voit bien que l’équipe est compétente, investie, soudée.
Mais elle le sent : quelque chose atteint ses limites.
Jusqu’ici, Camille a piloté à l’intuition.
Elle connaît son secteur, ses partenaires, ses certitudes.
Mais aujourd’hui, elle a besoin d’un cap plus structuré.
Elle se pose des questions qu’elle n’avait jamais eu à formuler aussi clairement :
Camille ne cherche pas une solution miracle.
Elle ne veut pas d’une plateforme surdimensionnée, ni d’une promesse de “scalabilité” magique.
Ce qu’elle veut, c’est un cadre clair, une vision partagée, une feuille de route adaptée à leur réalité.
Elle sait que SENSO peut grandir.
Mais elle ne veut pas sacrifier son ADN sur l’autel de l’efficacité.
Elle ne cherche pas une révolution. Elle cherche un alignement.
Un alignement entre la mission, les contenus, les outils et les moyens humains.
Un alignement entre ce que SENSO incarne… et ce que SENSO devient.
Camille est prête.
Mais elle ne fera pas ce chemin seule.
Elle veut embarquer toute son équipe, en respectant les équilibres, les craintes, les rythmes de chacun.
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Malik est en poste depuis trois ans.
Il s’occupe de tout ce qui peut faire rayonner SENSO : le site, les réseaux, les visuels, les newsletters, les campagnes CPF, les supports de com pour les salons… C’est lui qui met de l’énergie dans chaque action de visibilité.
Mais au fond, il le sait : tout est trop artisanal.
Il n’y a pas de stratégie claire.
Pas de tunnel de conversion.
Pas de ligne éditoriale pensée sur le long terme.
Les campagnes sont réactives, jamais vraiment anticipées.
Et les contenus ne sont pas conçus pour accompagner l’apprenant dans un parcours, mais juste pour “communiquer”.
Malik sent qu’il brasse de l’air, malgré sa bonne volonté.
Il n’a ni les outils, ni la clarté nécessaire pour faire décoller l’image de SENSO.
Ce qui l’épuise le plus, ce n’est pas la charge de travail.
C’est le sentiment de ne pas savoir ce qui fonctionne. De ne rien pouvoir mesurer. De devoir “faire du contenu” sans retour, sans lien clair avec les ventes ou les inscriptions.
Ce qu’il veut ?
👉 Une stratégie globale.
👉 Un tunnel pensé pour qualifier et convertir.
👉 Des contenus utiles, pilotés, alignés avec l’offre.
Il rêve de pouvoir articuler ses actions autour de vraies étapes de parcours client.
De ne plus être le “créatif sympa” mais le chef d’orchestre de l’acquisition.
De passer du bricolage au pilotage.
Et il sait une chose : tout commence par une promesse claire, une offre lisible et un alignement avec les équipes commerciales et pédagogiques.
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Léna, c’est l’énergie brute de SENSO.
Elle gère les demandes entrantes, les relances, les dossiers CPF, les devis personnalisés, les appels avec les prospects, les mails qui tombent à toute heure. Elle connaît les offres, elle connaît les profils types, elle sent quand une opportunité est bonne.
Mais elle travaille à l’instinct.
Et surtout, elle travaille seule.
Pas de CRM.
Pas de tunnel de conversion défini.
Pas de segmentation de leads.
Pas d’automatisations.
Pas de relances préprogrammées.
Chaque semaine, elle perd des heures à retrouver un mail, à chercher si un prospect a déjà été recontacté, à ressaisir une info dans un tableur partagé.
Et elle le sait : à ce rythme-là, elle passe à côté de vraies opportunités.
Elle n’en peut plus de faire tout à la main.
Pas parce qu’elle est fainéante. Mais parce qu’elle veut mieux faire.
Ce qu’elle veut ?
👉 Un process clair.
👉 Un suivi automatisé des prospects.
👉 Des relances qui s’enchaînent sans stress.
👉 Du temps pour écouter, comprendre, conseiller… au lieu de courir.
Léna ne demande pas la lune.
Elle demande un système qui soutienne son métier, qui lui permette d’être commerciale, pas secrétaire, ni urgentiste de la vente.
Elle rêve d’un tunnel de vente fluide, d’un CRM bien configuré, d’un alignement avec Malik (marketing) et Camille (vision stratégique).
Elle rêve aussi de statistiques, de prévisions, de scénarios, pour arrêter de vendre “à l’aveugle”.
Parce qu’au fond, elle sait que vendre, ce n’est pas convaincre à tout prix.
C’est accompagner un parcours, au bon rythme, avec les bons outils.
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Sarah a toujours été au cœur de la pédagogie de SENSO.
Elle coordonne les plannings, accompagne les formateurs, valide les supports, fait le lien avec les apprenants.
Elle est la garante de la qualité pédagogique.
Mais depuis quelque temps, elle se sent à bout.
Chaque formateur a ses habitudes, ses supports maison, sa propre façon de structurer ses contenus.
Résultat :
Et quand on parle de digitalisation, la confusion augmente encore.
Certains formateurs veulent continuer en 100 % présentiel.
D’autres bricolent des modules e-learning isolés.
D’autres encore expérimentent des outils sans cadre commun.
Sarah passe son temps à recoller les morceaux.
À essayer de donner une cohérence à l’ensemble, sans imposer ni heurter.
Elle voit bien que le problème n’est pas la compétence des formateurs, mais l’absence de trame partagée, d’outils communs, de vision pédagogique alignée.
Ce qu’elle veut ?
👉 Une ligne pédagogique claire, évolutive, et comprise de tous.
👉 Des outils mutualisés, simples à prendre en main.
👉 Un accompagnement doux pour faire évoluer les formats sans tensions.
Sarah ne rêve pas d’imposer des process rigides.
Elle rêve de fédérer une équipe pédagogique autour d’un projet commun, d’insuffler une dynamique de modernisation respectueuse de l’ADN de SENSO.
Elle sait que la digitalisation pédagogique n’est pas un chantier technique.
C’est un projet humain, qui demande écoute, progressivité… et méthode.
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Lucas est formateur en RSE depuis huit ans.
Il connaît son sujet sur le bout des doigts, il adore transmettre, il aime les échanges en présentiel, les débats d’idées, les regards qui s’allument pendant une session.
Mais depuis quelque temps, il sent que l’attention décroche.
Les apprenants sont là, mais moins présents.
Leurs attentes ont changé : ils veulent des formats plus courts, plus dynamiques, plus interactifs.
Ils zappent, comparent, demandent à “voir les contenus avant”, posent des questions très précises sur les modalités, les outils, les cas pratiques…
Et puis, il y a tout ce vocabulaire qui circule autour de lui :
Micro-learning, IA générative, no-code, adaptive learning, gamification…
Lucas entend ces termes, mais ne sait pas par où commencer.
Il sent bien que le métier évolue, mais il n’a pas les repères pour évoluer avec lui.
Ce qu’il redoute ?
👉 D’être laissé de côté.
👉 D’être jugé “périmé” alors qu’il a encore tant à transmettre.
👉 De perdre le lien humain au profit de formats déshumanisés.
Ce qu’il attend ?
👉 Un accompagnement clair, sans jargon.
👉 Des exemples concrets.
👉 Des outils simples à prendre en main.
👉 Un espace pour apprendre, tester, se tromper, progresser.
Lucas ne résiste pas au changement.
Il refuse juste qu’on le bouscule sans explication.
Il veut bien évoluer, mais il veut le faire en conscience, à son rythme, en comprenant cequ’il apporte de plus à ses apprenants dans cette transformation.
Parce qu’au fond, ce qui le motive, c’est toujours la même chose :
Transmettre. Mais transmettre mieux, dans un monde qui bouge.
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Karim, c’est le lien invisible entre tous.
Il gère les plannings, les convocations, les échanges avec les formateurs et les apprenants, les feuilles d’émargement, les relances, les attestations, les dossiers de financement…
Sans lui, SENSO s’arrête.
Mais depuis quelques mois, il court partout, tout le temps.
Les outils sont dispersés.
Les fichiers Excel se multiplient.
Les tâches sont manuelles, répétitives, parfois absurdes.
Les mails s’empilent. Les doublons se créent. Les erreurs aussi.
Karim n’est pas débordé parce qu’il travaille mal.
Il est débordé parce qu’il n’a pas les bons outils.
Et surtout, parce que personne n’a pensé à structurer ce qui pourrait être automatisé sans perte de valeur.
Il rêve de respirer.
De travailler avec des outils simples, interconnectés, fiables.
De ne plus passer une journée à gérer ce qu’une plateforme bien pensée pourrait faire en quelques minutes.
Ce qu’il veut ?
👉 Une organisation fluide, pilotée.
👉 Des automatisations intelligentes, au service de l’humain.
👉 Des tâches qui ont du sens, pas des process à la chaîne.
Karim ne demande pas une révolution.
Il demande du bon sens numérique, au service de son métier.
Il est prêt à apprendre de nouveaux outils, mais il veut qu’on l’implique, qu’on le forme, qu’on le considère.
Parce qu’au fond, il incarne l’opérationnel quotidien.
Et c’est à ce niveau que la transformation se joue : dans les détails, dans la charge invisible, dans le vécu réel de ceux qui tiennent l’organisation à bout de bras.
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Chez SENSO, personne n’est en tort.
Chacun fait de son mieux. Chacun est compétent. Chacun est sincèrement investi.
Mais chacun agit dans son couloir.
Camille pilote à l’intuition. Malik communique à vue. Léna vend sans outils. Sarah recolle les morceaux. Lucas cherche à se réinventer. Karim compense les failles du système à la main.
Et personne ne voit vraiment l’ensemble du système.
Il n’y a ni cadre stratégique partagé,
ni langage commun entre métiers,
ni vision d’ensemble sur l’expérience apprenant.
Chacun ressent que “ça coince” quelque part,
mais personne ne sait par où commencer.
Ou plutôt : tout le monde croit que c’est "aux autres" de changer.
Et c’est précisément ici que naît le besoin de transformation systémique.
Pas un audit froid.
Pas un outil magique.
Mais un accompagnement global, humain, structuré, qui reconnecte les pièces du puzzle.
SENSO n’a pas besoin de repartir de zéro.
SENSO a besoin d’un socle solide, d’un cadre partagé, et d’un chemin de transformation réaliste.
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L’équipe de SENSO ne veut pas tout révolutionner.
Elle ne veut pas “devenir une EdTech”, ni copier les méthodes des géants de la formation en ligne.
Ce qu’elle veut, c’est retrouver du souffle, de la lisibilité, de la cohérence.
Elle veut :
Mais surtout :
👉 Elle veut avancer ensemble.
Pas chacun dans son coin.
Pas avec des solutions isolées.
Pas avec des effets de mode.
Elle veut une transformation structurée, progressive, incarnée.
Un partenaire qui l’accompagne métier par métier, sans jargon, sans complexité inutile.
Et elle a compris une chose essentielle :
la transformation numérique n’est pas une affaire de technologie.
C’est une affaire d’organisation. De posture. De système.
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SENSO est un organisme fictif.
Mais rien, dans ce que vit cette équipe, n’est inventé.
Camille, Malik, Léna, Sarah, Lucas, Karim…
Ces prénoms, ce sont peut-être ceux de vos collègues.
Ou les vôtres.
Vous aussi, vous sentez peut-être ce flottement.
Ce mélange de potentiel et de fatigue.
De conviction et de confusion.
De besoin d’agir… sans savoir exactement par où commencer.
👉 Cet article n’est pas là pour vous juger.
👉 Il est là pour vous dire : vous n’êtes pas seuls.
Turquoise Academy est née pour accompagner ces transitions,
avec méthode, avec douceur, avec exigence.
Parce que demain, les organismes qui feront la différence ne seront pas forcément les plus techniques, ni les plus visibles.
Mais ceux qui auront su aligner leur vision, leur modèle, leur pédagogie et leur stratégie d’acquisition.
Et si, comme SENSO, vous décidiez de reprendre la main ?
🧠 Pour comprendre les fondements de ce changement de posture, lisez cet article sur le modèle “entreprise digitale”.
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